Ce mercredi, je contacte le Dauphiné Libéré. Mon but est de présenter mon activité et d’échanger autour du concept de QR Code funéraire qui vient ajouter une proposition de valeur à l’accompagnement des familles.
Catherine PONCET répond elle-même au téléphone. Je me présente, moi, mon histoire de vie, et mon activité « Histoires de vie ». Catherine me dit que cela l’intéresse grandement et me propose de venir échanger dans les locaux du Dauphiné Libéré quinze jours après.
C’est heureuse et détendue que je me présente à notre rendez-vous, enthousiaste à l’idée de partager mon aventure et faire connaître mon intérêt pour l’histoire familiale, l’importance de la conserver et de la transmettre.
Catherine prend des notes, m’interroge, me prend en photo, et me propose d’aller prendre une autre photo, cette fois au cimetière. J’accepte avec joie, sans savoir encore qu’un article paraîtrait une semaine après, j’adore les cimetières.
Nous nous quittons, fortes de cette rencontre et de cet échange. Catherine m’indique que l’article paraîtra dans la presse au niveau départemental en fin de semaine suivante. Je n’en reviens pas ! Cela s’est fait si vite et si naturellement. Je rentre chez moi, reconnaissante de cette belle rencontre, pleine d’énergie de voir que « Histoires de vie » suscite un tel intérêt !
C’est donc avec émotion et grand plaisir que j’ai découvert l’article dans la presse ce dimanche matin, à la Une du Dauphiné Libéré éditions départementales.
On me demande si je suis fière, je réponds que je suis vraiment heureuse et reconnaissante. Catherine et l’article qu’elle a écrit sont une énorme opportunité pour moi de faire connaître le concept de QR Code funéraire. L’enjeu est réellement de donner aux gens l’opportunité de compiler l’histoire, de la conserver et de la transmettre, pour qu’elle ne se perde pas.
Un grand merci donc à Catherine PONCET, au Dauphiné Libéré qui a accepté de publier cet article, et à toutes celles et ceux que je rencontre au fil des jours et qui me font confiance et me nourrissent.